Gomez au Bayern, c'est fait! Neuer, suivant sur la liste?
mardi 26 mai 2009
Publié parMatt à 15:03 0 commentaires
Libellés : Football
Football - Wolfsburg Champion d'Allemagne!
dimanche 24 mai 2009
Après une dure défaite en finale de la Coupe de l'UEFA, le Werder subit un nouveau revers et termine la saison à une peu glorifiante 10e place...
Eintracht Francfort - Hambourg 2-3
Publié parMatt à 00:29 0 commentaires
Libellés : Football
Tennis - Le Come Back de Mauresmo
vendredi 22 mai 2009
Publié parNicolas MIKLUSIAK à 23:35 0 commentaires
Libellés : Tennis
Le Petit Dico Irrévérencieux du Foot Moderne
mercredi 13 mai 2009
K
Une Kader Keita
Courir...courir et se perdre dans ses dribbles...tout en oubliant par moments le ballon et surtout ses partenaires...
D
Une Robert Duverne (préparateur physique de l'OL, de l'équipe de France et plus gros palmarès de blessés de la saison avec son collègue Gunner)
Préparer ses joueurs physiquement pour une saison entière et n'en voir quasiment aucun la finir sans avoir eu de pépins.
G
Une Govou
Dire chaque été que l'on veut partir à l'étranger, que l'on en a la possibilité et finalement toujours rester.
T
Être un Toulalan
Avoir un look de vieux, malgré tout 3 poumons et viser la barre transversale à chaque frappe.
Publié parNicolas MIKLUSIAK à 21:35 0 commentaires
Libellés : indiscrétions
Petit Dictionnaire Irrévérencieux du Football Moderne
dimanche 10 mai 2009
Le football évolue de plus en plus en vite, tout change: le physique des joueurs, les enjeux du football... mais quelque chose ne changera jamais, quelque chose qui a fait la légende du football, quelque chose que chaque fan de football a en lui... l'art de tailler les joueurs, les entraîneurs de foot qui ont tendance, comment dire, à être de sacrés phénomènes de foire. L'idée de ce dictionnaire m'est venu en regardant... Bernard Mendy. Le nom de ce joueur est devenu une de mes expressions footbalistiques favorites. Comment ? Vous le saurez en lisant ce petit dictionnaire ou recueil d'expressions, de mots venant tout droit de l'univers du football pour l'univers du football. Expressions que vous pourrez ressortir lors de vos soirées foot, PES (ou FIFA ça dépend des gens) avec vos potes (avec qui d'autres en même temps) et où l'expression "Espèce de Bernard Mendy" prendra tout son sens.
Commençons pour notre première édition par quelques expressions en rapport avec le PSG
E
Everton
Pas le club, le joueur du PSG. Joueur recruté à prix d'or, présenté comme une future star (brésilienne de surcroît) car surveillé de longue date qui en fait se révèle être mauvais, nul, pourri, inutile, j'en passe et des meilleurs.
Synonyme: Santos, quiche, jambon, arnaque
P
Une Fabrice Pancrate
Joueur ne sachant que courir. Ne lui demandez pas de faire une passe, de dribbler ou que sais-je encore (marquer un but par exemple), ne cherchez pas, il ne sait rien faire d'autre à part courir... tout droit.
NB: Attention à ne pas confondre avec le Bernard Mendy qui lui essaie de centrer (même si c'est derrière les buts... eh on peut pas faire deux choses à la fois).
I
Une Ibisevic
Joueur présenté comme un futur espoir, à qui on ne donne pas sa chance et qui quelques années plus tard se révèle être un excellent joueur.
M
Une Bernard Mendy
Joueur ne sachant que courir et qui ne sait/peut centrer qu'au troisième poteau, c'est-à-dire derrière les buts.
La suite bientôt
Publié parMomo à 21:48 0 commentaires
Libellés : indiscrétions
Formule 1 - Brawn à la Conquete de l'Espagne
Les Brawn GP ont fait le doublé, aujourd'hui ,sur le circuit de Catalunya dans une course menée de main de maître.
Dès le départ, Barichello et le poleman Jenson Button occupent les deux premières places suivis par Felipe Massa, qui grâce à son KERS, a grillé la politesse à la Red Bull de Sebastian Vettel. Dans le peloton ce fut encore plus animé avec un carambolage au deuxième virage impliquant quatre voitures. En effet, Jarno Trulli afin d'éviter une Williams (celle de Rosberg en l'occurence) partit dans l'herbe malheureusement pour lui, il perdit le contrôle de sa Toyota qui fut percutée par la Force India de Sutil, qui elle-même força , pour l'éviter, la Toro Rosso de Buemi a percuté son coéquipier le français Bourdais. Une pluie de débris (en carbone), et la course neutralisée pour 5 tours.
A la sortie du Safety Car, les deux Brawn s'envolent suivies par Massa, Vettel et Webber. La première vague d'arrêt ravitaillement ne modifia pas la hiérarchie, tous les leaders semblaient partis pour une stratégie à deux arrêts. Mais, étonnamment, le leader Barichello anticipa son second arret pour passer à une stratégie à trois arrêts qui condamna ses chances de victoires, cédant la tête... à son coéquipier Button: consigne d'écurie ? Sûrement cela rappele à Rubens un certain Grand Prix d'Autriche, chez Ferrari en 2001...
Derrière, Webber s'emparait de la troisième place au nez et à la barbe du brésilien Massa et du jeune prodige Vettel. L'allemand passa toute sa course bloquée derrière la Ferrari du vice-champion du monde, qui grâce à son KERS, l'empêchait de le dépasser dans la longue (1,2 Km) ligne droite des stands.
Mais, au 56e tour, coup de théatre, Massa apprend par radio qu'il n'a pas assez d'essence pour aller jusqu'au bout ! Encore une nouvelle erreur stratégique chez Ferrari qui coute encore des points à la Scuderia. Le Brésilien est obligé de lever le pied avant de laisser passer Vettel puis dans le dernier tour de se faire dépasser par la Renault d'Alonso malgré le fait que le pilote espagnol pointait à plus de 18 secondes à 4 tours de l'arrivée. Massa pu rejoindre l'arrivée à la sixième place avant de tomber en panne 500 mètres plus loin. Au final, on retrouve Heidfeld (BMW) à la septième place suivit par Nico Rosberg qui ramène le point de la huitième position à Williams.
Le doublé des Brawn conforte la place de leader de Button au championnat pilote et de l'écurie britannique au championnat constructeur. Derrière, Vettel peut se mordre les doigts, il perd de précieux points dans la course pour le titre. Pire, il voit Barichello lui prendre la deuxième place au classement général. Ferrari ramène 4 points mais voit tout ses espoirs de titre petit à petit s'envoler, une année de transition en sorte. Enfin les grands perdants du week-end sont Kimi Raikkonen trahit par sa mécanique au 18e tour, Lewis Hamilton et Robert Kubica qui finissent hors des points.
Rendez-vous dans quinze jours, à Monte-Carlo pour le mythique Grand Prix de Monaco.
Publié parMomo à 21:09 0 commentaires
Libellés : automoto
NBA - Cleveland LeBronesque !!
Après un billet sur la Conférence ouest, voici (et avec un peu de retard) les résultats du premier tour des PlayOffs mais à l'Est cette fois-ci.
Cleveland Cavaliers - Detroit Pistons (4 - 0)
Les Pistons n'ont pu faire le poids face au MVP de la saison régulière LeBron James. "Chosen One" a écrasé de toute sa classe la franchise du Michigan, orphelin de son meneur vedette Chauncey Billups partit faire les beaux jours des Nuggets à l'ouest. A cela s'ajoute l'absence du soliste Allen Iverson blessé, Wallace et Prince inexistant (et encore je suis gentil), un collectif en état de mort cérébrale face à des Cavaliers impériaux sa donne un sweep sans appel.
Atlanta Hawks - Miami Heat (4 - 3)
Les Hawks de retour à leur meilleur niveau. La triplette Johnson-Smith-Bibby a éteint le Heat qui ne pouvait compter que sur le talent de son arrière All-Star Dwayne Wade. Le manque de profondeur du banc mais aussi du cinq majeur où seul surnageait Jermaine O'Neal a condamné la franchise floridienne dans cette série ,surement la plus faible de ces playoffs.
Boston Celtics - Chicago Bulls (4 - 3)
Jusqu'au bout du suspense. Les Bulls qu'on attendait pas à ce niveau, ont joué crânement leur chance face aux champions en titre bien que privé de leur intérieur vedette Kevin Garnett absent jusqu'à la fin de la saison. Heureusement pour les Celtics, les arrières ont fait le boulot (Rondo, Pierce et Allen) épaulé par le rookie Glen Davis qui a fait le boulot à l'intérieur. Les Bulls eux se sont appuyé sur un solide collectif (7 joueurs à plus de 10 pts de moyenne) sans non ronflant mise à part Ben Gordon qui s'affirme comme un potentiel All-Star. Cette confrontation s'est joué sur un rien. Notre Frenchie, Joachim Noah s'affirme à présent comme une valeur montante, titulaire tout au long de cette série, il a rendu une feuille de stats complète: 10 pts 13 rebonds 2 passes et 2 contres en 39 minutes, s'offrant le luxe d'offrir la victoire à son équipe lors du match 6 en interceptant le ballon avant de dunker pour la victoire...à suivre la saison prochaine.
Orlando Magic - Philadelphie 76ers (4 - 2)
Après trois matchs extrêmement serrés, le Magic a pris l'ascendant sur la franchise de Philadelphie. Les Sixers n'ont pu compter que sur la doublette Iguodala-Miller (42 pts de moyenne à eux deux) face au Magic qui pouvait compter en plus d'un Dwight Howard herculéen (21 pts 16 rbd et 3 contres) , sur une équipe complète et homogène et ceux malgré la méforme du shooter turc Hedo Turkoglu et l'absence de leur meneur titulaire Jameer Nelson .
Publié parMomo à 18:57 0 commentaires
Libellés : basket
Football - La déroute lyonnaise : à qui la faute ?
vendredi 8 mai 2009
Auteurs d'une fin de saison catastrophique, les lyonnais vont sûrement pouvoir nourrir des regrêts une fois l'année footballistique achevée. Auteur de leur plus mauvaise série en championnat depuis une bonne dizaine d'années, les lyonnais vont très probablement laisser filer le titre pour la première fois depuis 7 ans. La qualification en Champions League est même remise en question. Cette déroute n'est pas due qu'à un seul facteur, mais à une somme d'éléments perturbateurs ayant surgi tout au long de la saison.
Une équipe sans âme ?
On a souvent entendu dire cette saison que le jeu lyonnais avait perdu de sa superbe. Moins flamboyant, moins percutant, tout simplement d'un niveau moins élevé, le jeu lyonnais a souvent cette saison semblé terne, et ne se reposer que sur les exploits individuels de joueurs-clé : Juninho ou Benzema pour prendre les meilleurs exemples.
Le principal problème du jeu lyonnais cette saison est l'absence de collectif, la fébrilité défensive et le manque de qualité sur les ailes.
En effet, le "bloc-équipe" cher à Claude Puel a rarement été entrevu, laissant place à un ensemble désorganisé, fouilli. Incapables de produire des séquences de jeu rapides, enchainant les passes, les lyonnais se sont souvent contentés de rares moments d'excitations, de contres opportunistes ou de longs ballons loin devant, ne reposant que sur la capacité de Benzema à créer l'exploit.
Dans le secteur défensif, l'OL a souvent peiné, et ce malgré la bonne saison de Boumsong. Cris, jamais revenu à son meilleur niveau, a enchainé les boulettes, sans jamais réussir à être décisif. Et que dire des innombrables interims effectués sur les ailes, que ce soit par le jeune Lamine Gassama, par John Mensah ou encore Kim Källström. Autant de problèmes qui n'ont rien arrangé au problème de jeu lyonnais.
Enfin, le dernier gros point noir des lyonnais concerne les ailes. Des arrières vieillissants (Grosso), blessés (Reveillère, Clerc), ou tout simplement pas au niveau (Gassama), des milieux latéraux formés pour jouer dans l'axe (Delgado, Keita, Ederson, Pjanic) ou encore blessés (Govou, Pjanic), le jeu sur les côtés lyonnais a été tout simplement inexistant tout au long de la saison. Penalisant, surtout pour une équipe qui s'est construite sur les ailes : Malouda, Abidal ou encore Govou faisaient il y a encore quelques années la loi sur leurs ailes.
Un recrutement raté.
On a souvent parlé de grands noms à Lyon cet été, d'un recrutement solide, pour pouvoir atteindre les objectifs fixés en Champions League. Il s'avère cependant que le recrutement lyonnais a été baclé, voire completement raté. Explications.
L'OL a d'abord recruté cet été 2 milieux offensifs axiaux en la personne de Miralem Pjanic et Honorato Ederson, en ne concédant cependant aucun départ dans ce secteur, déjà pourtant bien garni. C'est ainsi que l'OL s'est retrouvé cette saison avec une multitude de milieux centraux de métier : Juninho, Makoun, Källström, Pjanic, Bodmer Ederson et Keita dans une moindre mesure. 7 joueurs pour 2 places, en considérant le poste de milieu défensif comme la propriété de Jeremy Toulalan, suppléé par Jean II Makoun. Cependant, hormis Sidney Govou, aucun ailier pur. C'est ainsi que Keita a continué cette saison d'occuper le poste d'ailier, complété par Ederson, pour des résultats médiocres : Ederson ne s'en sort pas, Keita continue à livrer des performances catastrophiques, et Pjanic sera tout juste moyen. Källström, rarement titularisé sur le flanc gauche, aura pourtant montré de belles choses.
D'autre part, le recrutement de John Mensah en défense central est un échec total. Ne parvenant pas à s'intégrer, plusieurs fois touchés psychologiquement (Insultes racistes au Mans, arrestation musclée et injustifiée à Lyon...), Mensah a réalisé une saison catastrophique.
L'autre fiasco de la saison consiste en le recrutement de Fréderic Piquionne. Débauché de Monaco pour environ 5 millions d'euros cet été, Piquionne n'a eu qu'un temps de jeu limité, pour des performances de piètre qualité, en témoigne le match désastreux contre Saint-Etienne, ponctué d'une expulsion.
Dans le même registre, on pourra évoquer les cas Fred et Fabio Santos, gros échecs de la méthode Puel. Le premier partant au bout d'interminables discussions, minant le vestiaire lyonnais, et le deuxième en venant quasiment au mains avec son entraineur.
A noter aussi la décision contestable de laisser partir Loïc Remy, qui aurait pu apporter beaucoup dans le secteur offensif de l'OL cette saison.
Restera dans cette mare de points noirs une énorme satisfactions en la personne d'Hugo Lloris, véritable sauveur de l'OL cette saison, sans qui l'addition à ce jour serait encore plus lourde.
Des choix tactiques pas toujours cohérents
L'entraineur de l'OL, Claude Puel, a été au cœur des débats. Accueilli chaleureusement à son arrivée, Claude Puel a vite fait déchanter les supporters rhodaniens. Le premier reproche à faire à Claude Puel concerne le coaching. L'équipe alignée par le manager de l'OL a souvent été nantie d'incohérence, de décisions parfois illogiques. Comment, par exemple, continuer à aligner un Kader Keita dont les performances frolent le ridicule, en laissant des joueurs comme Anthony Mounier ou Cesar Delgado sur le banc ? Comment laisser un joueur régulier et solide comme Kim Källström sur le banc quand l'OL a clairement besoin d'un joueur de son acabit pour s'imposer au milieu ? Pourquoi ne pas avoir donné sa chance au jeune Thimothée Kolodziejczak sur le côté gauche de la défense lors des innombrables forfaits de Fabio Grosso ? Surtout au vu des performances de John Mensah ou Kim Källström à ce poste.
En plus de ces choix concernant la forme, c'est la fond qui pêche. Le 4-3-3 lyonnais ne fonctionne plus, c'est un fait. Claude Puel l'a à une époque bien compris, en expérimentant un 4-2-3-1 qui a fait ses preuves, avec un Delgado étincelant dans le rôle de numéro 10. Cette formule sera cependant rapidement abandonnée, au profit d'un retour à un 4-3-3 terne et inefficace.
Il ressort de ces problèmes comme une impression de fébrilité de l'entraineur de l'OL, pourtant amateur du turnover et de la nouveauté lorsqu'il était à Lille.
Des leaders vieillissants ou en méforme.
Le symbole de la déchéance de l'OL cette année n'est autre que le capitaine emblématique, Juninho. Exclu à plusieurs reprises cette saison, le brésilien a davantage brillé par ses gestes d'humeur que par son talent. Véritable révélateur de la tension et du doute régnant dans l'équipe, Juninho a perdu de sa superbe, en témoignent les innombrables coup francs envoyés dans les tribunes cette saison. Juninho ne fait plus peur, l'OL ne fait plus peur. A 34 ans, Juninho n'a peut-être plus l'énergie nécessaire pour porter à bout de bras l'Olympique Lyonnais.
Cette tâche est pour lui d'autant plus difficile à assumer que l'autre âme de l'équipe, Cris, a eu beaucoup de mal cette saison. Touché par une sérieuse blessure en début de saison, le défenseur brésilien n'a jamais retrouvé l'aura, la confiance, la stabilité qui était la sienne lors des saisons précédentes. A 32 ans, Cris semble aussi avoir du mal à reprendre du poil de la bête.
Enfin, la deuxième partie de saison morose de Karim Benzema, et la blessure de longue durée de Sidney Govou n'ont rien arrangé aux problèmes déjà existants. Lyon semble ne se reposer que sur l'aura de Jeremy Toulalan cette saison, toujours fidèle au poste, et souvent décisif, notamment lors de grands matches. Il n'en reste pas moins que l'OL semble parfois perdu sur le terrain, à la recherche de motivation, du petit supplément d'âme qui a fait la force des lyonnais lors des dernières saisons.
Un grand ménage cet été ?
Les solutions se font attendre. Le président de l'Olympique Lyonnais, Jean-Michel Aulas, a réaffirmé sa confiance à Claude Puel, à qui il reste de toutes manières 3 ans de contrat. Le grand ménage pourrait donc avoir lieu dans l'effectif, et/ou dans le staff. Après une saison entachée par de nombreuses blessures, la préparation physique est peut-être à mettre en cause.
Du côté des joueurs, Sidney Govou a émis, comme chaque année, des vœux de départ. Fabio Grosso fait l'objet de rumeurs qui l'enverraient à Naples notamment. On n'oublie pas Benzema, dont le départ devient de plus en plus probable à mesure que l'OL sombre... Il faudra de toutes façons pour l'OL se renforcer sérieusement cet été, et ce dans tous les secteurs, pour pouvoir à nouveau afficher des ambitions à la hauteur des attentes des supporters.
Publié parAnonyme à 15:50 0 commentaires
Libellés : Football, indiscrétions
Coupe de l'UEFA: Une finale de combattants
Publié parMatt à 10:22 1 commentaires
Libellés : Football
Football - C1 : Et le football l'emporte !
jeudi 7 mai 2009
Au terme d'un final au suspense haletant et d'un match d'une tension insoutenable, le FC Barcelone a rejoint hier Manchester United en finale de la Ligue des Champions. Ce seront bien les deux équipes les plus régulières et les plus fortes d'Europe, ayant des jeux portés vers l'avant qui se retrouveront au Stade Olympique de Rome le soir du 27 mai prochain.
Mardi les Mancuniens se sont qualifiés aisément face à la jeune garde d'Arsenal dans une double confrontation menée de main de maitre et à l'expèrience par les hommes de Sir Alex.
Au match aller il avait fallu un match exceptionnel de Manuel Almunia (gardien méconnu en Europe mais très performant) pour ne pas que les Gunners reviennent d'Old Trafford les valises pleines. Avec une victoire 1 à 0 sur un but d'O'Shea, l'incertitude était toujours complète au coup d'envoi à l'Emirates Stadium.
Mais elle ne durera que 8 minutes jusqu'à ce que le pauvre Gibbs (19 ans) ne glisse et offre le but à Park sur une passe de Ronaldo. Les Cannoniers qui avaient débuté le match avec des ambitions toutes autres que lors de l'aller s'en trouvèrent abattus tout comme le stade refroidi.
Le challenge était de marquer trois buts face à un tel bloc préparé par le technicien écossais et appliqué rigoureusement par l'ensemble de l'équipe ultra-impressionante, autrement dit mission impossible pour les jeunes londoniens pas encore assez murs pour renverser la vapeur comme le ferait une équipe comme Liverpool par exemple.
D'autant plus dur que Cristiano Ronaldo sur un coup franc magistral double la mise et enterre définitivement les espoirs des joueurs d'Arsène Wenger. Le match fut ensuite controlé par United évoluant en contre sans etre inquiété par les attaques adverses sans ames. C'est en contre que Cristiano marque un doublé sur un mouvement sublime partant de la surface de Van der Sar, avant que Robin Van Persie sauve l'honneur sur penalty.
La faute commise par Fletcher en dernier défenseur a valu à ce dernier un carton rouge le privant de la finale alors qu'il s'agit d'un joueur exemplaire. Monsieur Rosetti applique le règlement certes mais un peu de psychologie et d'intelligence pardi ! C'est ce qu'il y a de plus cruel pour un joueur que de manquer une finale !
Manchester, rappelons qu'une équipe n'a jamais remporté deux C1 de suite, défendra donc bien son titre à Rome contre...le Barça.
Celui-ci a obtenu son ticket pour la finale à la 93ème minute (l'avant dernière) à la toute fin d'une rencontre épique l'opposant à Chelsea à Stamford Bridge.
Le match nul et vierge de l'aller laissait tout présager pour ce match retour entre 2 équipes aux styles diamètralement oposés : Chelsea évoluant en bloc et en contre, Barcelone en monopolisant le ballon et créant.
C'est la formation de Guus Hiddink qui démarre le mieux la rencontre grace à un but venu d'ailleurs de Michael Essien, le Ghanéen envoyant une reprise de volée du gauche des 20 m dans la lucarne de l'impuissant Valdes.
Durant tout le match Barcelone n'y arrive pas buttant encore plus encore sur la défense des Blues, ne se procurant pas la moindre occasion et le moindre tir cadré jusqu'à cette fameuse 93ème minute.
Il faut noter que les Catalans sont privés de Puyol (suspendu), de Marquez et d'Henry (blessés).
Ainsi Guardiola s'est peut etre trompé dans sa composition de départ en reculant Toure dans l'axe de la défense, titularisant Keita à la place d'Iniesta avancé pour pallier l'absence d'Henry.
Ceci a sensiblement dérangé l'équipe et l'a mise en difficulté.
Car difficulté il y eut. Chaque contre londonien est dangereux. Drogba, Malouda et Anelka par leur puissance mettent à mal la défense blaugrana et sont sources d'actions litigieuses (3 penalties réclamés non accordés) meme si Abidal est exclu sévèrement par l'arbitre norvégien dépassé.
Les minutes passent, Chelsea ne fait pas le break et se contente de défendre, le Barça essaie d'attaquer à 10 avec ses armes et est récompensé miraculeusement en cet instant où le temps s'est arrété et par lequel le football ainsi que l'émotion nous ont envahi : le frappe d'Iniesta.
Servi par Messi à l'entrée de la surface, le petit joueur "transparent" catalan envoie le ballon en lunette de Petr Cech d'un extérieur du pied magique et venu de nulle part. Est-ce un signe que c'est l'année des Catalans ?
Toujours est-il que le Barça de Guardiola se qualifie par miracle à Stamford Bridge et rejoint Manchester en finale. Une finale qui s'annonce grandiose entre 2 des plus grandes équipes du monde de ces 10 dernières années, avec des joueurs d'exception de part et d'autre, 2 grands coachs (l'un débutant, l'autre mythique) et 2 clubs légendaires du foot européen.
Chelsea crie au scandale après s'etre senti volé, Drogba : It's a disgrace, it's a fucking disgrace, we have been stolen" ce qui est vrai compte tenu du match qui aurait du etre remporté par la formation d'Hiddink. Mais n'oublions pas aussi les cartons qu'auraient du récolter les Blues au Camp Nou et la sévère expulsion d'Abidal.
En tout cas, vol ou pas vol, le football sort grandit de cette qualification, la création barcelonaise l'emportant sur la destruction londonienne et c'est une bonne chose.
Rendez-vous le 27 mai pour la finale sans doute la plus allechante footballistiquement parlant depuis de nombreuses années. On a hate d'y etre !
But d'Iniesta : http://www.youtube.com/watch?v=2ZF7i1FI_4Q
Publié parNicolas MIKLUSIAK à 22:34 0 commentaires
Libellés : Football
NBA - La Hiérarchie confirmée à L'Ouest
lundi 4 mai 2009
Le premier tour des Playoffs est déjà terminé. On a eu droit à notre lot de surprises, de désillusions, de confirmations et de suspense. Voyons cela avec un premier billet résumant les résultats du premier tour de la Conférence Ouest.
LA Lakers - Utah Jazz (4-1)
La franchise californienne s'est tranquillement qualifiée pour les demi-finales de Conférence Ouest face à des Jazzs qui n'ont pu soutenir la comparaison. Emmenés par un Kobe Bryant étincelant (27,4 pts de moyenne) épaulé par ses deux lieutenants Pau Gasol et Lamar Odom (même si le premier semblait légèrement en deçà) les Lakers n'ont pas lutté pour l'emporter. Malgré son duo Boozer-Williams, à plus de 20 pts de moyenne, Utah a souffert de la blessure du pivot turc Mehmet Okur qui n'a donc pas pu apporter son jeu si déstabilisant pour les intérieurs adverses (un pivot shooter à 3pts loin du standard bourrin américain). Kirilinko quant à lui, sombre petit à petit et est bien loin de ses années All-Star.
Portland Trailblazers - Houston Rockets (2-4)
Un affrontement entre l'expérience et la jeunesse. Victoire de l'expérience, mais cela a été dur car les jeunes de l'Oregon ont vendu chèrement leur peau. Un Brandon Roy extraordinaire aidé par le pivot LaMarcus Aldridge (20 pts moyenne) n'a pas suffi face à des Rockets pas spécialement impressionnants mais qui ont su tirer profit d'un cinq majeur homogène. En effet, 4 des joueurs ont mis plus de 15 pts de moyenne notamment les intérieurs Yao Ming et Luis Scola. Le français Nicolas Batum s'est contenté de 10 minutes de jeu, trop peu pour briller...
Denver Nuggets - New Orleans Hornets (4-1)
Les Nuggets ont survolé cette série pour se qualifier facilement pour les demi-finales de Conférence. Un collectif extrêmement bien rodé: une doublette Melo Anthony-Billups à la baguette, aidée par l'aérien JR Smith et le shooter lituanien Linas Kleiza tout deux sortis du banc, pour ne citer qu'eux ont permis à Denver de survoler la série. Les Hornets , quant à eux, ont semblé totalement hors du coup: Tyson Chandler absent, Stojakovic à la ramasse, Chris Paul en deçà de son niveau habituel (16 pts de moyenne contre 22 pts en saison régulière). Denver semble armé pour aller loin, très loin...
Dallas Mavericks - San Antonio Spurs (4-1)
Deux équipes vieillissantes voir en fin de cycles, qui, à une époque ne se croisaient qu'au stade des finales de conférences. Notre TP a atteint un niveau exceptionnel avec ses 28 pts de moyenne, associé à un bon Tim Duncan (20 pts de moyenne) mais ils n'ont pu seuls vaincre les Mavericks. L'allemand Nowitzki avec ses 20 pts de moyenne a bénéficié d'un collectif (encore une fois) de haut vol (6 joueurs à plus de 10 pts) qui n'a eu à affronter que deux joueurs des Spurs, il est vrai privés de l'argentin Ginobili.
Prochain billet, les résultats de la Conférence Est.
Publié parMomo à 23:24 0 commentaires
Libellés : basket
Football - Série A : L’Inter s’envole avec le titre, la Juve s’effondre
En Italie, l’Inter va sur son 4ème scudetto consécutif sans trop de difficultés. Les trois dernières places pour la ligue des champions sont toujours disputées.
Résultats de la 34ème journée :
Bologne – Reggina : 1-2
Inter – Lazio : 2-0
Catane – Milan : 0-2
Juventus – Lecce : 2-2
Fiorentina – Torino : 1-0
AS Rome - Chievo : 0-0
Palerme – Cagliari: 5-1
Udinese – Atlanta Bergame: 3-0
Sienne – Naples 2-1
Genoa - Sampdoria : 3-1
Il faut bien sûr noter la belle victoire de l'Inter (77 points) contre la Lazio avec un Zlatan Ibrahimovic en grande forme. Il marque un but et délivre une passe décisive pour Muntari. Avec sa bonne performance, il fait taire les tifosi interistes qui l’ont sifflé durant tout le match en raison de son éventuel
départ en fin de la saison.
Le Milan AC (70 points), fait une bonne opération, continue petit à petit son ascension et conserve sa seconde place. Il creuse d’ailleurs un peu plus l’écart avec la Juve (66 points).
La Juve, quant à elle se maintien à la troisième place au classement général. La vielle dame piétine, depuis plus d’un mois et demi. Cette dernière connaît de grosses difficultés à s’imposer. Une fois encore, elle concède le nul (2-2) contre une équipe de bas de tableau, Lecce, 19ème. Honteux. Il faut toutefois souligner le doublé de l’ancien ballon d’or Pavel Nedved.
La Fiorentina (61 points) garde sa quatrième place, ce qui lui permettra d’accéder au tour préliminaire de La Champion’s League avec sa victoire contre le Torino.
Gênes grâce à sa victoire lors du derby conserve sa 5ème place. Cependant, il peut encore rivaliser pour la 4ème place puisqu’un seul et unique point le sépare de la Viola.
Le nul concédé au Chievo n’arrange pas l’AS Roma (53 points), qui se retrouve à 7 points du Genoa et peut donc dire adieu à la prestigieuse Ligue des Champions. La Roma doit, en plus se méfier de Palerme qui, avec son succès écrasant face à Cagliari n’est plus qu’à un point.
En Italie, les places pour les ligues européennes ne sont pas encore définies. De nombreuses équipes peuvent encore les espérer, ce qui promet une fin de championnat pleine de suspense et peut être de rebondissements.
Au classement des buteurs, Di Vaio doit rester prudent car ce week-end il s’est fait rattraper par Ibrahimovic (21 buts chacun). Ils sont suivis de très près par Milito, auteur d’un triplé avec le Genoa, qui a 19 buts à son actif ; lui-même doit faire attention à l’attaquant de la Fiorentina, Gilardino avec 18 buts.
La 35ème journée est prévue ce week-end avec un choc dimanche après-midi : Milan Ac contre la Juventus de Ranieri. Ces deux équipes se battront pour la seconde place du championnat.
Quatre points seulement le séparent. Une victoire du Milan lui garantirait la seconde place tant convoitée. Une victoire de la Juve, lui permettrait de reprendre un peu d’air et de confiance pour finir cette triste saison. Avec un Milan très discret ces dernières semaines mais en grande forme et une Juve en pleine crise, ce choc promet des sueurs froides à tous les supporters.
Samedi 9 mai à 18h Sampdoria contre Rggina
à 20h30 Lazio contre Udinese
Dimanche 10 mai à 15h Chievo contre l’Inter
Milan Ac contre la Juve
Catane contre Fiorentina
Atlanta contre Genoa
Sienne contre Palerme
Lecce contre Naples
Torino contre Bologne
à 20h30 Cagliari contre l’AS Rome
Publié parEmeline à 22:51 0 commentaires
Libellés : Football
Tennis - Les Français dans le creux de la vague...
dimanche 3 mai 2009
Après un début de saison extraordinaire des tricolores commencé avec l'Open d'Australie et une sur-médiatisation du tennis masculin français, on revient à un quasi anonymat ou plus exactement à la normale.
Nous nous interesserons ici au parcours des quatre meilleurs joueurs français à savoir Gilles Simon, Jo-Wilfried Tsonga, Gael Monfils et Richard Gasquet; les tennismen qui symbolisent notre analyse et le tennis national à travers le monde.
Une saison démarrée sur les chapeaux de roue
Janvier 2009, les quatre tricolores sont déja classés dans les 25 meilleurs joueurs mondiaux à l'ATP. Deux d'entre eux, Simon le Niçois et Tsonga le Manceau ont meme terminé l'exercice précédent en apothéose avec une participation aux Masters.
En début d'année, on peut donc espérer que cette génération extraordinaire confirme dans un premier temps les espoirs plaçés en elle.
Ceci débute parfaitement par le premier grand moment français de la saison lors du tournoi de Doha et la victoire de Gael Monfils sur Nadal, certes en rodage. C'est l'une des 3 défaites de la saison de l'espagnol pour le moment.
Mais comme chaque année, le premier grand rendez-vous tennistique a lieu à l'autre bout du monde sur les terres australes de Melbourne. Dans la fournaise des courts, nos quatre garçons dans le vent accèdent tous à la deuxième semaine : Gasquet est éliminé en 1/16 èmes, Monfils en 1/8 èmes par Simon, Tsonga passe à la trappe en 1/4 contre un Verdasco en état de grace. Gilles Simon, malgré un superbe combat, s'incline au meme stade contre Nadal.
Le Grand Chelem australien lance parfaitement la saison des Bleus et fait naitre un enthousiasme immense pour la suite des évènements et la capacité de ces quatre joueurs à marquer ensemble et individuellement l'année 2009 de leur emprunte.
S'ensuit jusqu'à début mars une série impressionante de bons résultats français, les joueurs tour à tour réalisant de très beaux tournois si bien qu'à un moment donné, plus une semaine ne se passe sans qu'un tricolore soit au moins en demi-finale de l'un de ces derniers.
Hormis le biterrois Gasquet, plus discret, les trois autres enchainent les quarts, demis voire meme finales (Acapulco pour Monfils) et titres (Johannesburg, Marseille pour Tsonga le plus redoutable des français à ce moment).
Une dynamique collective et saine dans ce sport on ne peut plus individuel était née.
Le premier tour de Coupe Davis et le coup de mou...
Cette rencontre face aux Tchèques emmenés par Stepanek et Berdych n'avait rien de facile sur le papier ou plutot avait tout d'un piège...
Mais les français galvanisés par leur formidable entame d'année sont grands favoris. L'équipe de France de Coupe Davis entrainée par Guy Forget est dès cette année très ambitieuse avec cette génération dorée (la plus forte dit-on depuis les 4 Mousquetaires) et compte ramener le trophée à Paris.
Mais la loi implacable de cette compétition particulière et légendaire s'est appliquée à l'encontre des Bleus trop justes pour battre des Tchèques survoltés devant leur public et dotés d'un mental à toutes épreuves. Les locaux l'emportent 3 victoires à 1 et anéantissent les jeunes joueurs français rarement confrontés à une telle pression.
C'est le cas de Gilles Simon auteur de deux mauvais matchs coutant la qualification mais sur ce coup là, l'Azurréin n'a pas été aidé par Guy Forget. Je m'explique. Le capitaine en re-titularisant Simon le dimanche pour le match décisif contre Stepanek malgré son non match du vendredi a commis une erreur.
En effet, c'étaient les premiers pas du Niçois dans cette compétition et il n'a pas supporté la pression ce qui le plongea dans un état mental compliqué à la suite de la défaite finale. D'autres options à la vue de la défaillance de Simon étaient possibles comme de faire jouer Monfils ou Llodra notamment pour décharger ce pauvre Gilles.
Cette défaite du collectif France est un immense choc pour les joueurs malgré leurs dires et correspond à une véritable rentrée dans les rangs du tennis français au beau milieu de la saison.
Ce traumatisme est confirmé par le coup de moins bien individuel que subissent les tricolores depuis début mars...
La tournée américaine débute par une élimination de tous les français avant les 8èmes de finale. Malgré un meilleur tournoi de Miami avec Tsonga éliminé en 1/4 par Djokovic, Simon par Jo et Monfils par Roddick au tour précédent, cette tournée outre-atlantique est décevante au regard du début d'année.
Mais ce sont plutot les résultats suivants qui sont inquiétants c'est à dire ceux correspondants au début de saison sur terre. Sur 3 grands tournois joués (Monte Carlo, Barcelone etRome), aucun des français n'a réussi à passer le cap du 2ème tour à part Gasquet à Rome (perd en 1/8èmes contre Verdasco) qui a montré de belles choses.
Des problèmes individuels
Il est évident que tous marquent le coup physiquement après cette entame exceptionnelle d'une saison qui dure 11 mois. Les joueurs étant quasiment toutes les semaines sur les courts à travers le monde et n'ayant pas l'habitude de se retrouver si souvent à jouer les premiers roles les années précédentes sont fatigués. Le corps peut ne pas répondre par moments, c'est une des causes de ce creux dans les résultats.
Individuellement, Tsonga se retrouve sur une surface qui ne l'avantage pas car il est très puissant et plus lourd que certains joueurs.
Simon a du mal depuis un certain temps mentalement (Coupe Davis) et ne retrouve plus son jeu à moins que ses adversaires aient trouvé la clé de celui-ci ce qui serait problématique.
Gasquet est à son aise sur cette surface et revient en forme. Il sera compétitif à Roland Garros si comme toujours il n'a pas de soucis physiques, son gros défaut qu'il semble avoir enfin perçu.
Quant à Gael Monfils, il n'est pas apparu sur un cours depuis Monte Carlo et souffre d'une inflammation du tendon rotulien qui vient d'une maladie de croissance déclenchée à l'adolescence. Le parisien est incertain pour Roland Garros.
Une médiatisation difficile à gérer
Les très bons résultats tricolores du début de saison a provoqué une médiatisation très importante de ces 4 jeunes garçons qui a pu géner voire destabiliser ces derniers.
Le fait que 4 français soient dans les 20 meilleurs joueurs du monde (du jamais vu !) a fait naitre chez les médias un enthousiasme extraordinaire, continu, intense et pesant.
Un exemple avant le premier tour de Coupe Davis (encore) avec l'histoire des Nouveaux Mousquetaires (en référence aux Mousquetaires Borotra, Brugnon, Cochet et Lacoste de la fin des années 20 et du début des années 30) soit disant déja partis pour etre l'équipe la plus forte du monde. Ou encore les reportages incessants de Canal + à leur sujet.
Malgré ces deux mois quasi-vides depuis début mars, les Bleus figurent aux 8 (Simon), 9 (Tsonga), 10 (Monfils) et 23èmes places (Gasquet) au classement ATP du 4 mai. Donc cette période n'a que peu eu d'influences sur ce point.
Toujours est-il qu'à maintenant moins d'un mois du grand rendez-vous parisien, il faut désormais que nos Français sortent de cette passe moins avantageuse afin que les résultats reviennent mais aussi que les médias ne décident de retourner leur veste.
Publié parNicolas MIKLUSIAK à 16:18 0 commentaires
Libellés : Tennis
Football - Exceptionnel Barça !
Mais c'est sans compter sur un Thierry Henry des grands soirs. Seulement 3 minutes après le but Merengue, Messi d'une balle piquée géniale isole Henry qui d'un plat du pied trompe Casillas laissé à l'abandon.
La mi-temps marque en quelque sorte la fin du calvaire pour les madrilènes... qui malgré ce but de Higuain n'ont rien pu faire face à la maîtrise technique affichée par les Catalans.
Le match repart un peu sur le même rythme que la première mi-temps, c'est à dire avec un Barcelone qui confisque le ballon encore une fois.
Publié parfredch à 12:33 0 commentaires
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